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Palombe et Tradition - N°11 - ETE 2006
Ref : PT11


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SOMMAIRE

4 L’ÉCHO DES CABANES
10 INTERNET - Les cabanes d’Aquitaine
12 Quelques éléments de réflexions…
14 ONCFS - Le baguage au nid reste un projet
18 PALOMBE ET RUGBY - Olivier CAMPAN, amoureux de la nature
20 SANTÉ - La paramyxovirose
24 DOSSIER - Incendie en palombière
30 LES ARBRES - Conservation de vieux arbres dans les bois à palombière
32 INDEX
34 DOSSIER TECHNIQUE - Où et comment installer les appeaux dans les arbres
38 DOSSIER - L’évolution des sédentaires
41 HOMMAGE - Michel BARIS
42 SOCIÉTÉ - Les palombières ne vieillissent plus
46 La tête dans le ciel…
56 LES RECETTES DU PALOUMAYRE









EDITO :

Une fois n’est pas coutume, je ne vous parlerai pas de palombes, mais du coucou.

Nul besoin de présenter le coucou, tout le monde le connaît, du moins l’entend, mais à quoi ressemble-t-il ?

Si son chant est sans doute le plus connu de tous , il n’en est pas de même de l’oiseau lui-même.

Si j’ai choisi de vous parler du coucou, c’est que cet oiseau qui nous paraît si familier cache quelques particularités que l’on ne soupçonne pas. Il apparaît chez nous au mois d’avril et annonce le printemps par son chant si caractéristique que tout le monde a l’impression de le connaître. Mais en fait il est assez mal connu. On sait tous que le coucou pond son œuf unique dans le nid d’un autre oiseau, souvent bien plus petit que lui, et laisse le soin à celui-ci d’élever l’oisillon «squatteur». Ce que l’on sait moins, c’est qu’il va même jusqu’à imiter la couleur et l’aspect des œufs de son « hôte ». Autre particularité du coucou, l’oisillon, dès son éclosion va s’approprier le nid et en jeter ses frères adoptifs.

Le coucou se nourrit à la saison de chenilles processionnaires dont il est très friand. Quand il avale des chenilles, les poils piquants de ces dernières se plantent dans son gésier et finissent par le tapisser entièrement. L’animal peut alors recracher toute la peau de son estomac. Ainsi il peut de nouveau se gaver de chenilles urticantes, et renouveler l’opération aussi souvent que nécessaire.

Grippe aviaire, où en est-on ?

Il semblerait qu’il y ait une accalmie, du moins médiatique, merci à l’actualité politique qui fait qu’on ne s’occupe plus des chasseurs pour l’instant. A surveiller tout de même.

Philippe Ducos, Rédacteur en chef

 
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